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La Coop santé dépasse son objectif de recrutement

La Coop santé de l'UdeS a recruté en décembre son 500e membre, dépassant en six mois l'objectif de recrutement qu'elle s'était fixé pour l'année 2008-2009. Le 500e membre, Nicolas Legault, est étudiant en 1re année au baccalauréat en kinésiologie. «Les projets de la Coop santé m'ont tout de suite rejoint, dit-il, car il est important de mettre en commun toutes les ressources disponibles directement à l'endroit où l'on passe la majorité de notre temps.»
La Coop santé de l'UdeS a recruté en décembre son 500e membre, dépassant en six mois l'objectif de recrutement qu'elle s'était fixé pour l'année 2008-2009. Le 500e membre, Nicolas Legault, est étudiant en 1re année au baccalauréat en kinésiologie. «Les projets de la Coop santé m'ont tout de suite rejoint, dit-il, car il est important de mettre en commun toutes les ressources disponibles directement à l'endroit où l'on passe la majorité de notre temps.»
Photo : Michel Caron

8 janvier 2009

En franchissant le cap des 500 membres, la Coop santé de l'Université de Sherbrooke a dépassé en six mois l'objectif de recrutement qu'elle s'était fixé pour l'année 2008-2009. Ce succès montre qu'elle répond à un besoin. Dans la logique de prise en charge propre aux coopératives, les 500 premiers membres sont des précurseurs qui amorcent un important changement de mentalité, en mettant la puissance de la coopération au service de la santé globale du corps et de l'esprit.

Le 500e membre, Nicolas Legault, est étudiant en 1re année au baccalauréat en kinésiologie à l'Université de Sherbrooke. Il possède une attestation en guide d'activité de plein air du Cégep de la Gaspésie et des Îles. «Les projets de la Coop santé m'ont tout de suite rejoint, dit-il, car il est important de mettre en commun toutes les ressources disponibles directement à l'endroit où l'on passe la majorité de notre temps, soit le milieu de travail. La popularité de la Coop santé est une bonne nouvelle pour moi, parce que chaque personne de plus qui se joint à nous élargit le cercle d'influence de la santé et du mieux-être, donc par le fait même de la kinésiologie et de mes valeurs profondes.»

«Avec le concours des facultés, services, syndicats et associations, explique Gaston Stratford, président de la Coop santé, nous concevons l'Université comme promotrice de santé et la communauté universitaire comme milieu de développement de saines habitudes de vie. Dans cette optique, notre mission de prévention et de promotion s'arrime avec la mission d'enseignement, de recherche, de création et d'engagement social de l'UdeS.»

Nicolas Legault
Nicolas Legault

La Coop santé recourt à l'expertise de professionnels de la santé ayant des pratiques complémentaires, tels que kinésiologues, psychologues et nutritionnistes. Elle permet de dresser un profil de santé et de dépister des facteurs de risque, et elle met sur pied des stratégies en matière de nutrition, d'activité physique et de santé psychologique. Des cours de cuisine au réseau des pairs aidants, en passant par le counseling en activité physique, les massages sur chaise ou encore les sorties de ski, les randonnées en raquette ou la pêche sur glace.

Rappelons que la Coop santé a lancé cet automne un service d'analyse des risques de santé auquel toutes les catégories de membres peuvent s'inscrire en ligne. Ce service permet à l'usager de prendre conscience des effets de ses comportements sur sa santé globale. Au terme de l'exercice, il reçoit un rapport détaillé contenant de l'information qui lui est personnellement destinée concernant sa situation médicale, ses habitudes de vie, son environnement de travail, sa santé mentale, son alimentation et l'activité physique. La teneur des résultats le met en contact avec des outils et des ressources pour améliorer sa condition.